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Le Journal de Kafka

~ nouvelle traduction par Laurent Margantin

Le Journal de Kafka

Archives de Tag: écrire

#journalkafka, premier cahier, 61

13 jeudi Juin 2013

Posted by Laurent Margantin in Premier cahier

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écrire, colère, tête

5 octobre 1911           Pour la première fois depuis plusieurs jours de nouveau anxieux même avant de me mettre à écrire ceci. Colère contre ma sœur qui vient dans la chambre et qui s’assoit à la table avec un livre ; attente de la prochaine petite occasion où je pourrai libérer cette colère. Enfin elle prend une carte de visite dans la boîte et se cure les dents avec en circulant dans la chambre. Avec la colère qui s’atténue et dont il ne reste qu’une forte pression dans la tête, et le soulagement naissant et la confiance, je commence à écrire.

#journalkafka, premier cahier, 58

08 samedi Juin 2013

Posted by Laurent Margantin in Premier cahier

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écrire, bureau, chair, viande

Dicte au bureau une circulaire importante qui s’adresse à l’administration de la police du district. Arrivé à la conclusion, qui doit prendre un peu d’ampleur, je reste bloqué et sans pouvoir faire autre chose que de regarder la dactylo, mademoiselle Kaiser qui, comme à son habitude, devient particulièrement agitée, bouge sa chaise tousse, pianote sur la table, et ainsi attire l’attention de tout le bureau sur mon malheur. L’idée que je cherche acquiert désormais une valeur supplémentaire, celle de la calmer, et plus elle devient précieuse plus elle est difficile à trouver. Enfin j’ai le mot « stigmatiser » et la phrase qui va avec, mais je garde tout dans ma bouche avec une sensation de dégoût et de honte comme si c’était de la viande crue coupée de ma propre chair (cela m’a coûté autant d’effort). Je prononce enfin la phrase, mais je reste avec la grande terreur que tout en moi est prêt pour un travail poétique et qu’un tel travail serait pour moi une solution divine et une véritable manière de devenir vivant, alors qu’ici au bureau je dois à cause d’un document lamentable voler un morceau de sa chair à un corps capable d’un tel bonheur.

#journalkafka, premier cahier, 54

05 mercredi Juin 2013

Posted by Laurent Margantin in Premier cahier

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écrire, dormir, insomnie, lunettes, rêves

2 octobre 1911           Nuit d’insomnie. Déjà la troisième d’affilée. Je m’endors bien, mais je me réveille une heure plus tard comme si j’avais posé la tête dans un mauvais trou. Je suis complètement réveillé, ai le sentiment de n’avoir pas du tout dormi ou bien seulement sous une fine peau, je suis forcé de travailler de nouveau à m’endormir et me sens rejeté par le sommeil. Et à partir de ce moment ça reste comme ça toute la nuit jusque vers 5 heures du matin, je dors certes mais en même temps des rêves violents me tiennent éveillé. Je dors littéralement à côté de moi, tandis que je dois me battre avec des rêves. Vers 5 heures la dernière trace de sommeil est consommée, je rêve juste, ce qui est plus épuisant que d’être éveillé. Bref, je passe toute la nuit dans l’état où se trouve un homme sain pendant un petit moment avant de s’endormir tout à fait. Quand je me réveille tous les rêves sont rassemblés autour de moi, mais je me garde bien de les examiner en profondeur. Vers le matin je gémis contre le matelas parce qu’il n’y a plus d’espoir pour cette nuit. Je pense à ces nuits au bout desquelles j’étais tiré du sommeil profond et me réveillais comme si j’avais été enfermé dans une noix. Une terrible apparition cette nuit c’était un enfant aveugle apparemment la fille de ma tante de Leimeritz qui d’ailleurs n’a pas de fille mais seulement des fils, dont l’un s’est un jour fracturé le pied. En revanche, il y avait un rapport entre cet enfant et la fille du docteur Marschner qui, comme je l’ai vu dernièrement, joli enfant qu’elle était, est en train de devenir petite fille grosse toute raide dans ses vêtements. Cette fille aveugle ou bien à la vue faible avait les deux yeux couverts de lunettes, l’œil gauche  sous le verre assez éloigné était gris laiteux et sa surface ronde ressortait, l’autre était en retrait et était recouvert par un verre adhérent. Afin que ce verre fût placé convenablement sur le plan optique, il était nécessaire d’utiliser un levier à la place de la branche habituelle passée sur l’oreille, levier dont la tête ne pouvait être fixée autrement que sur la pommette, de sorte qu’une petite tige qui descendait du verre jusqu’à la joue, disparaissait dans la chair trouée et se terminait à l’os, tandis qu’une autre tige métallique ressortait et passait au-dessus de l’oreille. – Je crois que cette insomnie est causée uniquement par le fait que j’écris. Car aussi peu et aussi mal que j’écrive, je deviens quand même plus susceptible à travers ces petits ébranlements, je sens surtout vers le soir et encore plus le matin le souffle, la possibilité proche de grands états qui me déchirent et qui pourraient me rendre capable de tout, et ensuite, dans le bruit général qui est en moi et que je n’ai pas le temps de commander, je ne trouve pas le repos. Finalement, ce bruit n’est qu’une harmonie réprimée, contenue, qui laissée libre me remplirait totalement, et même m’étendrait au loin et puis continuerait à me remplir. Mais actuellement cet état, à côté de faibles espoirs qu’il fait naître, ne provoque que des dégâts, car je ne dispose pas en moi d’une intelligence suffisante pour supporter le mélange actuel, dans la journée le monde visible m’aide, la nuit cela me déchire sans être empêché. Cela me fait toujours penser à Paris quand au temps du siège et de la Commune la population des faubourgs du nord et de l’est jusqu’alors étrangère au Parisien avançait pendant plusieurs mois littéralement heure après heure à travers les rues qui menaient au centre à un rythme saccadé comme l’aiguille d’une montre jusqu’à l’intérieur de Paris.

Ma consolation – et c’est avec elle que je vais me coucher maintenant – c’est que je n’ai pas écrit pendant si longtemps et que donc cette activité d’écriture n’a pas encore trouvé sa place dans ma situation actuelle, mais qu’avec un peu de virilité cela doit être possible, au moins provisoirement.

#journalkafka, premier cahier, 37

29 mercredi Mai 2013

Posted by Laurent Margantin in Premier cahier

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écrire

C’est malheureux, mais je crois que je n’ai pas le temps de réaliser le moindre travail de qualité, car je n’ai réellement pas le temps pour écrire une histoire de me disperser aux quatre coins du monde, comme je devrais le faire. Mais ensuite je crois à nouveau que mon voyage aura une meilleure issue, que j’accéderai à une meilleure perception des choses si je deviens plus souple en écrivant un peu et alors j’essaye à nouveau.

#journalkafka, premier cahier, 36

29 mercredi Mai 2013

Posted by Laurent Margantin in Premier cahier

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écrire, éducation, corps, natation

15 août 1911 La période qui vient de s’écouler pendant laquelle je n’ai pas écrit un mot a été très importante pour moi parce qu’aux écoles de natation de Prague, de Königssaal et de Czernoschitz j’ai cessé d’avoir honte de mon corps. Avec quel retard – à vingt-huit ans – je rattrape mon éducation, c’est qu’on appellerait un départ retardé pour une course. Et le préjudice dans un tel malheur ne consiste pas dans le fait de ne pas vaincre ; ce n’est là que le noyau encore visible, clair et sain du malheur qui devient flou et perd toute limite, entraînant celui qui devait contourner le cercle à l’intérieur du cercle. J’ai d’ailleurs remarqué beaucoup d’autres choses en moi pendant cette période qui a été même heureuse pour une petite part, et je vais essayer de les noter pendant les prochains jours.

#journalkafka, premier cahier, 33

29 mercredi Mai 2013

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écrire, Docteur Steiner, littérature, théosophie, travail

Ma visite au Dr. Steiner.
Une femme attend déjà (en haut au second étage de l’hôtel Victoria dans la Jungmannsstrasse) mais me prie avec insistance de rentrer avant elle. Nous attendons. La secrétaire arrive et nous fait patienter. Je le vois par une ouverture sur le corridor. Tout de suite après, il vient vers nous les bras à moitié écartés. La femme explique que j’étais là le premier. Je le suis donc tandis qu’il me conduit dans son bureau. Sa redingote noire comme cirée les soirs de conférence (pas cirée, mais brillante de son noir pur) est maintenant à la lumière du jour (3 h de l’après-midi) poussiéreuse même tachée, surtout dans le dos et aux aisselles. Une fois dans sa chambre, je cherche à montrer mon humilité – que je ne ressens pas – en choisissant une place ridicule pour mon chapeau ; je le pose sur un petit meuble en bois où on lace ses chaussures. Table au milieu, je suis assis face à la fenêtre, lui sur le côté gauche de la table. Sur la table des papiers avec quelques dessins qui rappellent ceux des conférences sur la physiologie occulte. Une brochure Annales de la Philosophie de la nature recouvre un petit tas de livres qui paraissent traîner là tous les jours. Le problème, c’est qu’on ne peut pas regarder autour de soi, vu qu’il essaye constamment de vous tenir avec son regard. Et quand il ne le fait pas, il faut faire attention au retour du regard. Il commence par des phrases sans lien les unes avec les autres : Vous êtes bien le Dr. Kafka ? Cela fait longtemps que vous vous intéressez à la théosophie ? Mais moi je me dépêche de lui réciter le discours que j’ai préparé : Je sens combien une grande partie de mon être aspire à la théosophie, mais en même temps j’éprouve face à elle une peur extrême. Je crains d’elle en effet une nouvelle confusion, ce qui serait très mauvais pour moi, puisque mon malheur présent n’est justement que confusion. Cette confusion consiste en ceci : mon bonheur, mes compétences et toutes mes possibilités de servir à quelque chose résident depuis toujours dans la littérature. Et c’est là en effet que j’ai vécu des états (pas beaucoup) qui selon moi sont très proches des états de voyance que vous décrivez, et pendant lesquels j’étais totalement et absolument dans chaque idée, mais tout en accomplissant chacune d’entre elles, états pendant lesquels je sentais que je n’étais pas seulement parvenu à mes propres limites, mais aux limites de l’humain en général. A ces états il manquait seulement la paix de l’enthousiasme qui est probablement propre au voyant, même si elle n’était pas totalement absente. Je conclus cela du fait que je n’ai pas écrit le meilleur de mes travaux dans ces états. – Or je ne peux pas me donner entièrement à la littérature, comme il le faudrait, et ce pour diverses raisons. Sans même considérer ma situation familiale, je ne pourrais pas vivre de la littérature en raison de la lenteur avec laquelle j’avance dans mes travaux et de leur caractère particulier ; en outre, ma santé et mon caractère m’empêchent également de me livrer à une vie qui serait incertaine dans le meilleur des cas. C’est pour cette raison que je suis devenu fonctionnaire dans une compagnie d’assurances sociales. Or ces deux métiers seront toujours inconciliables et ne permettront jamais un bonheur qui les réunirait. Le plus petit bonheur dans l’un devient un grand malheur dans le second. Ai-je écrit un soir quelque chose de bon, le lendemain au bureau je brûle d’impatience et je n’arrive à rien faire. Ce va-et-vient devient toujours plus intolérable. Au bureau je satisfais extérieurement à mes devoirs, mais pas à mes devoirs intérieurs et chaque devoir intérieur non accompli devient un malheur qui reste obstinément en moi. Et à ces deux aspirations qui ne s’accommoderont jamais je devrais maintenant ajouter une troisième, la théosophie ? Ne va-t-elle pas incommoder les deux autres et être elle-même incommodée par les deux autres ? Vais-je pouvoir, moi, un homme déjà si malheureux, mener les 3 à une fin ? Je suis venu Dr. Steiner vous poser cette question, car je pressens que, si vous m’en jugiez capable, je pourrais réellement assumer cette tâche.
Il m’a écouté avec la plus grande attention, sans jamais avoir l’air de m’observer, entièrement concentré sur ce que je disais. Il a hoché la tête de temps en temps, ce qu’il semble considérer comme un moyen permettant de développer une forte concentration. Au début un rhume silencieux l’a gêné, son nez coulait et il le travaillait sans cesse avec un mouchoir qu’il y enfonçait profondément, un doigt dans chaque narine

#journalkafka, premier cahier, 30

29 mercredi Mai 2013

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écrire, fenêtre

19/ II I I

L’espèce particulière d’inspiration avec laquelle, en homme le plus heureux et le plus malheureux, je vais dormir maintenant à deux heures du matin (elle va peut-être, si j’en supporte seulement la pensée, rester, car elle est supérieure à toutes celles qui l’ont précédée) est celle grâce à laquelle je peux tout, pas seulement dans le cadre d’un travail précis. Si j’écris une phrase au hasard, p.e. Il regardait par le fenêtre elle est déjà parfaite.

#journalkafka, premier cahier, 29

29 mercredi Mai 2013

Posted by Laurent Margantin in Premier cahier

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écrire, bureau, folie, travail

19/ II I I

Alors qu’aujourd’hui je voulais sortir du lit, je suis tout simplement tombé dans les pommes. Cela pour une raison très simple : je suis absolument surmené. Non par le bureau mais par mon travail à côté. Ce n’est pas le bureau qui en est responsable, ou bien juste dans la mesure où, si je n’y allais pas, je pourrais vivre tranquillement pour mon travail sans devoir passer là-bas ces six heures par jour qui en particulier vendredi et samedi parce que j’étais complètement accaparé par mes affaires m’ont tourmenté à un point que vous ne pouvez imaginer. Mais finalement je le sais bien tout cela n’est que du blabla, c’est moi qui suis coupable et le bureau a envers moi les exigences les plus claires et les plus justifiées. Juste que c’est précisément pour moi une terrible double vie dont l’issue vraisemblablement ne pourra être que la folie. J’écris cela à la lumière du jour et je ne l’écrirais certainement pas si ce n’était pas vrai et si je ne l’aimais pas comme un fils.
D’ailleurs demain je serai certainement remis et j’irai au bureau où la première chose que j’entendrai, c’est que vous voulez que je quitte votre service.

#journalkafka, premier cahier, 17

27 lundi Mai 2013

Posted by Laurent Margantin in Premier cahier

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écrire

Que de jours sont passés à nouveau, muet ; on est le 29 mai aujourd’hui. N’ai-je pas donc même pas la détermination de prendre chaque jour dans ma main ce porte-plume, ce morceau de bois. Je crois bien que je ne l’ai pas. Je rame, je monte à cheval, je nage, je reste allongé au soleil. C’est grâce à cela que les mollets sont bons, les cuisses pas mauvaises, le ventre ça va encore, mais la poitrine est déjà bien misérable et si ma tête sur le cou

#journalkafka, premier cahier, 14

27 lundi Mai 2013

Posted by Laurent Margantin in Premier cahier

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écrire

Enfin, après cinq mois de ma vie pendant lesquels rien de ce que je pouvais écrire ne me satisfaisait, cinq mois qu’aucun pouvoir ne me rendra bien qu’ils y soient tous obligés, j’en viens à l’idée de m’adresser à nouveau la parole. Quand je me suis vraiment interrogé, j’ai répondu à chaque fois, là il y avait toujours quelque chose à tirer de ce tas de paille que je suis depuis cinq mois et dont il semble que le destin soit d’être allumé en été et de se consumer, sans que les spectateurs aient le temps de cligner les yeux. Si seulement cela pouvait m’arriver ! Et cela devrait m’arriver dix fois, car je ne regrette pas un instant cette époque malheureuse. Mon état n’est pas le malheur, mais ce n’est pas le bonheur non plus, ce n’est pas l’indifférence pas la faiblesse, pas la fatigue, pas l’intérêt pour autre chose, mais alors qu’est-ce donc ? Le fait que je ne le sache pas est certainement en rapport avec mon incapacité à écrire. Et je crois comprendre celle-ci sans connaître sa cause. Toutes les choses qui me viennent à l’esprit ne me viennent pas depuis la racine, mais seulement de n’importe où vers leur milieu. Que quelqu’un essaye donc de les tenir, que quelqu’un essaye de tenir un brin d’herbe qui commence seulement à pousser au milieu de la tige, et qu’il essaye de s’y tenir. Seuls le peuvent quelques-uns, par exemple des saltimbanques japonais qui grimpent sur une échelle qui n’est pas posée sur le sol, mais sur les semelles dressées d’un homme à moitié allongé, échelle qui ne s’appuie pas contre le mur mais s’élève seulement dans le vide. Ce que je ne peux faire, sans parler du fait que mon échelle ne dispose pas de pareilles semelles. Ce n’est naturellement pas tout, et une telle requête ne m’amène pas encore à la parole. Mais il faut que chaque jour une ligne au moins soit tournée vers moi comme on tourne aujourd’hui le télescope vers les comètes. Et si je devais ensuite me présenter devant cette phrase, attiré par cette phrase comme je l’ai été par exemple à Noël où je suis allé si loin que j’ai tout juste pu me ressaisir alors que je semblais vraiment être au dernier niveau de mon échelle, laquelle était tranquillement posée sur le sol et contre un mur. Mais quel sol ! Quel mur ! Et pourtant cette échelle n’est pas tombée, mes pieds la pressant tellement sur le sol, la bloquant si fort contre le mur.

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